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Au millième de millimètre près : Johannes Tscharner mesure l’espace des joints dans le mur de retenue. découvrons alors le téléphérique qui relie le château d’eau à 300m d’altitude. Il appartient aussi au site de la centrale de Bärenburg et sa responsabilité incombe aussi nos deux hôtes : « Ce qui me plaît, c’est qu’on travaille aussi bien dedans que dehors : nous nous chargeons nousmême des travaux d’entretien sur l’installation. » Abattre des arbres ou couper des arbustes, récupérer les débris de bois flottant dans le lac, tondre le gazon et déblayer la neige en hiver. À cela s’ajoute bien entendu tous les travaux à réaliser directement sur l’installation : un travail sur mesure pour tout multitalent. Chapeau Sur le retour, le soleil brille à Bärenburg. L’installation de commande bourdonne encore, mais différemment. Ou bien est-ce le bruit assourdissant des turbines qui nous reste encore dans l’oreille ? Difficile à dire, mais nous nous accordons sur une chose : une telle centrale est vraiment fascinante. Nous avons appris beaucoup aujourd’hui et tirons notre chapeau face à ce travail plein de responsabilités.

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